La repentance est un sentiment nouveau. Condamner des périodes du passé en ignorant l’état d’esprit de l’époque, les cirsconstances et les faits s’apparentent à un Magistrat qui jugerait sans avoir lu son dossier par intime conviction ou la certitude arrogante. A juste titre, il devrait servir le peuple et non faire culpabiliser.

Nous sommes dans une crise majeure, qui nous pénalise dans les instances internationnales. Le paradoxe de ces repentances successives s’opposent aux commémorations de nos grands personnages du passé, pour se donner bonne image. (CF. image NAPOLEON)

Le sujet remonte quand Chirac a refusé d’inscrire dans la constitution nos racines Chrétiennes par suite d’un déboiement du concept de laicité. L’objectif actuel est de promouvoir un Etat sans frontière ou le citoyen n’a plus d’influence sur une décision face à une oligarchie Européiste ou Mondialiste. Dans la ligne du forum de Davos, et du milliardaire George Soros, il s’agit de déconstruire la France, et ainsi pousser les Français à oublier leurs histoires, abandonner leurs références pour se mélanger avec des populations venues d’ailleurs. Dérive vers l’extrême gauche communautaire, qui rejete par bloc ce qui fait la France, utilisant la décolonisation comme théologie de la libération. Ainsi, ces minorités se victimisent pour empêcher la majorité de s’exprimer. Nous sommes confronté à l’émergeance d’un néo-faschisme, ou les français se sentent coupables . Comme l’écrivait Albert Camus : “Il est bon qu’une nation soit assez forte de tradition pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs, mais elle ne doit pas oublier les raisons qu’elle peut avoir se s’estimer elle-même. Il est dangereux se sentir seul coupable et de se livrer pénitence perpétuelle”. Pour preuve le rapport Stora sur l’Algérie, car il porte sous silence les morts pour la France qu’ils soient civils ou militaires. Il fait suite à la condamnation de la colonisation française considéré comme un crime de l’humanité. Cet acte français allant d’un sens, aurait du avoir une réciprocité par le gouvernement algérien. Et à cela par le ministre du travail algérien qui tord la vérité pour dire que la France est l’ennemie traditionnel et éternel. Malheureusement, à cette époque, c’était pratique courant des populations du nord vers le sud, est en ouest… Il est légitime de reconnaître que l’Algérie a connue sous la colonisation un fort développement économique et social alors qu’elle s’est vue devastée par l’Empire Ottoman. A ce titre, le gouvernenemnt algérien refuse de reconnaître son échec dans le développement du pays après sa libération et en rend responsable le colonisateur et ce sans se comparer aux autres pays colonisés à la même époque qui eux ont réussis. Ce qui fait qu’en France, pour une petite partie de population immigrée profitant des avantages sociaux qui n’auraient pas dans leur pays d’origine. Nous sommes des coupables éternels. Des opposants au régime en place manifestent chaque semaine en assimilant à leur dirigeant actuel pour nous viticmiser. D’autant encouragés par des Imams financés de l’extérieur qui les poussent à ne pas s’intégrer. Attention alors aux idéologues extrémistes rêvant de modéliser le monde à leur image.

Le président du Tchad le Idriss Débi a été tué lors d’une réunion avec son état major le matin des élections. En sachant que la majorité de la population souhaitait un changement après 5 mandats de dictature. Les francais pour préserver l’implication indispensable de l’armée Tchadienne dans l’opération Barkanne ont préféré commandité un gouvernement par le fils du président Debi. Le minimum aurait de s’en excuser auprès des Tchadiens ! Quand la prudence est partout…le courage n’est nul part.